Ils nous ont choisi
Quelles sont les problématiques rencontrées dans les métiers de la propreté ?
Pour comprendre les problématiques opérationnelles, il faut d’abord se demander : Comment les processus sont-ils mis en place et que se passe-t-il en amont ?
Pour digitaliser, il faut que nos agents comprennent l’intérêt de la solution, les avantages des outils et qu’ils soient capables de les utiliser. Une fois que tout ça est mis en place, tout se passe relativement bien. Le problème majeur relève donc plus de la mise en œuvre que de l’opérationnel en lui-même.
Comment la digitalisation est-elle perçue par les agents ?
Chez nous, il n’y a aucun rejet de la part des agents. La seule difficulté rencontrée est la barrière de la langue. C’est quelque chose d’extrêmement compliqué car certains agents ne parlent pas français ou ne savent pas lire le français.
Sur toutes nos opérations, nous avons instauré un environnement de confiance. Nous n’avons donc pas de difficulté à faire comprendre l’intérêt de la digitalisation des processus d’intervention. Les agents comprennent très bien qu’il ne s’agit pas d’une surveillance mais que ces outils leur permettront de progresser. C’est un moyen d’améliorer nos relations avec les clients et avec nos salariés.
Selon vous, quels intérêts les acteurs du FM ont-ils à digitaliser leurs services?
La digitalisation permet d’instaurer une relation de confiance avec le client et le salarié. Les indicateurs relevés contribuent à apaiser les relations commerciales avec les clients, qui ont désormais la certitude de la présence du salarié et de la prestation effectuée.
Les outils permettent de relever des indicateurs de présence, de durée des prestations, qui impactent directement la paye. De plus, ces solutions informent le salarié sur les prestations à effectuer grâce à un outil unique qui peut tout gérer simultanément.